(Photo Jacques Sandillon)
L'église Saint-Pierre de Gauriac au cœur de la nuit.
(Photo Jacques Sandillon)
Église Saint-Pierre vue du ciel.
(Photo ASPG)
De la construction romane dédiée à saint-Symphorien, citée par le pape Clément III en 1190, il reste essentiellement le chevet de style roman.
En 1895 deux sacristies sont annexées de part et d’autre du chevet.
(Photo Jacques Sandillon)
On remarque plus particulièrement la baie encadrée de deux colonnettes, surmontées de chapiteaux sculptés de feuillages et d’animaux, puis d’une voussure ciselée en forme de chaîne à maillons en losanges.
(Photo Jacques Sandillon)
Côté Sud on peut observer un modillon victime d’un malheureux coup de marteau.
(Photo Jacques Sandillon)
Peu d’églises en Aquitaine possèdent de tels décors. De 1884 à 1886 l’architecte Jacques Valleton (élève de Paul Abadie, architecte diocésain) crée les voûtes en briques du chœur, de la nef, de la chapelle et des bas-côtés. Les peintures sont réalisées en 1887 par le peintre décorateur bordelais René Louis Gustave Vincent.
(Photos Jacques Sandillon)
Bas-côtés gauche et droit créés entre 1767 et 1770 lors de la reconstruction de l ‘église après un
incendie.
(Photo ASPG)
Le clocher, avec sa flèche en pierre, est construit au cours de la période 1767-1769.
(Photo ASPG)
C’est en 1921 que l’horloge est installée sur le clocher par G. Guignan, horloger mécanicien à Bordeaux.
Sur son testament déposé chez Maître Pierron, notaire à Gauriac, Guillaume Morpain, indique qu’il lègue 3 000 francs à la commune pour placer une horloge sur le clocher de l’église. Il pose une condition : celle de pouvoir voir l’heure depuis sa tombe. Ce qui explique semble t-il que l’horloge n’a que deux cadrans. L’un est orienté face au bourg, l’autre dirigé vers le cimetière dans lequel la tombe de M. Morpain est positionnée face au cadran.
(Photo Jacques Sandillon)
La pietà (Notre-Dame de pitié) en bois polychrome arrive d’Espagne. Elle est offerte par le sieur Christophe Querrut, puis installée dans l’église le 26 mars 1774.
Elle serait de la fin du XVIIe – début du XVIIIe siècle. Ses dimensions : hauteur 1,03 m - longueur 0,81 m - largeur 0,54 m.
(Photo Jacques Sandillon)
Ce tableau provenant du musée du Louvre est offert, à l’église Saint-Pierre de Gauriac, en 1860 par Napoléon III. représente « le repas d’Emmaüs ».
(Photo ASPG)
Les vitraux semblent être l’œuvre de Dagran. Datés de 1885, 1887 et 1892, ils proviennent de divers dons.
(Photo ASPG)
Nous n'avons pas trouvé la date de construction de ce calvaire situé devant l'entrée de l'église. Un dessin de Léo Drouyn de 1850 est le seul repère.
Pour découvrir un peu plus l'église Saint-Pierre